Par Laetitia Fernandez, journaliste L’histoire de Mondello est, comme souvent en Sicile, à la fois amusante et tragique. Amusante parce que son destin aurait pu être tout autre. Il y a mille ans, les Arabes l’appelaient Marsâ’at Tin, soit Port de Boue. Des marais nauséabonds, des moustiques et le paludisme en faisaient un lieu peu …