Par Agnès Taravella, journaliste
Cette plage a beau être de sable fin et blanc, vous n’y étendrez pas votre serviette ! Aucune baignade n’est possible à cause des requins, des méduses au venin mortel et des énormes vagues qui viennent s’écraser sur le rivage. Encore plus étonnant : cette plage n’est autre qu’une des nombreuses highway (autoroutes) du réseau routier australien ! C’est donc en 4×4 que vous remonterez cette immense langue de sable… et à moins de 80 km/h sous peine de vous faire flasher par les radars ! Vous pourrez ainsi rouler jusqu’à l’épave du SS Maheno. Là encore, des surprises vous attendent : ce squelette de fer était, pendant la Première Guerre mondiale, le navire-hôpital des forces navales de Nouvelle-Zélande (indépendante depuis 1907 mais appartenant encore à l’Empire britannique). En 1935, alors qu’il naviguait dans la mer de Tasman, entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande, il fut pris par un cyclone et jeté sur l’île de Fraser. À l’abandon, l’érosion a depuis fait son oeuvre. Le spectacle est saisissant. Et les couleurs et les textures prises par le métal au fil du temps ne pourront pas laisser indifférents les photographes amateurs.
1. La plage de 25 miles et le SS Maheno
Cette plage a beau être de sable fin et blanc, vous n’y étendrez pas votre serviette ! Aucune baignade n’est possible à cause des requins, des méduses au venin mortel et des énormes vagues qui viennent s’écraser sur le rivage. Encore plus étonnant : cette plage n’est autre qu’une des nombreuses highway (autoroutes) du réseau routier australien ! C’est donc en 4×4 que vous remonterez cette immense langue de sable… et à moins de 80 km/h sous peine de vous faire flasher par les radars ! Vous pourrez ainsi rouler jusqu’à l’épave du SS Maheno. Là encore, des surprises vous attendent : ce squelette de fer était, pendant la Première Guerre mondiale, le navire-hôpital des forces navales de Nouvelle-Zélande (indépendante depuis 1907 mais appartenant encore à l’Empire britannique). En 1935, alors qu’il naviguait dans la mer de Tasman, entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande, il fut pris par un cyclone et jeté sur l’île de Fraser. À l’abandon, l’érosion a depuis fait son oeuvre. Le spectacle est saisissant. Et les couleurs et les textures prises par le métal au fil du temps ne pourront pas laisser indifférents les photographes amateurs.