Par Jean-Baptiste Veber, professeur d'histoire-géographie
Il arrive qu’un lieu nous enchante. Soudain, nous découvrons un paysage, une perspective, une atmosphère. Le temps s’arrête. Nous ne regardons plus, nous « éprouvons » ce lieu avec chaque fibre de notre corps. Il ne s’agit pas forcément d’un site exceptionnel, pourtant il le devient presque instantanément à nos yeux. Sans peine nous imaginons, après quelques tours de sentiers, être prêts à y revenir, à y vivre – à y terminer nos jours pourquoi pas. Nous sommes heureux et cette soud
Il arrive qu’un lieu nous enchante. Soudain, nous découvrons un paysage, une perspective, une atmosphère. Le temps s’arrête. Nous ne regardons plus, nous « éprouvons » ce lieu avec chaque fibre de notre corps. Il ne s’agit pas forcément d’un site exceptionnel, pourtant il le devient presque instantanément à nos yeux. Sans peine nous imaginons, après quelques tours de sentiers, être prêts à y revenir, à y vivre – à y terminer nos jours pourquoi pas. Nous sommes heureux et cette soud
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