Par Étienne Augris, professeur d'histoire-géographie
Le 8 mai dernier, le président des États-Unis Donald Trump a annoncé le retrait de son pays de l’accord sur le nucléaire iranien signé à Vienne le 14 juillet 2015 par les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies, l’Allemagne et l’Union européenne, et validé par l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Cette décision, annoncée par Trump dès 2016, inquiète tous ceux qui craignent un retour en arrière et de nouvelles tensions régionales. Les Européens, qui n’ont pas réussi à convaincre Donald Trump de ne pas se retirer, s’accrochent à un mince espoir, celui de maintenir l’accord entre tous les autres signataires. Chez les Iraniens, elle a réactivé l’hostilité envers les États- Unis dans une population qui attendait beaucoup de la levée des sanctions en janvier 2016.
Certains dirigeants iraniens s’affirment désorma
Le 8 mai dernier, le président des États-Unis Donald Trump a annoncé le retrait de son pays de l’accord sur le nucléaire iranien signé à Vienne le 14 juillet 2015 par les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies, l’Allemagne et l’Union européenne, et validé par l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Cette décision, annoncée par Trump dès 2016, inquiète tous ceux qui craignent un retour en arrière et de nouvelles tensions régionales. Les Européens, qui n’ont pas réussi à convaincre Donald Trump de ne pas se retirer, s’accrochent à un mince espoir, celui de maintenir l’accord entre tous les autres signataires. Chez les Iraniens, elle a réactivé l’hostilité envers les États- Unis dans une population qui attendait beaucoup de la levée des sanctions en janvier 2016.
Certains dirigeants iraniens s’affirment désorma
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