Par Jean-Baptiste Veber, professeur d'histoire-géographie
Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, témoin de 1 000 ans d’histoire japonaise, il est composé de 56 bâtiments construits sur l’estran, ce qui donne l’incroyable impression qu’il flotte sur l’eau à marée haute. Pour certains, une telle configuration exprimerait la croyance en la Terre pure bouddhiste : les âmes des morts pourraient ainsi être transportées en bateau du sanctuaire vers le « monde suivant ».
Son architecture raffinée et sa couleur vermillon contrastent avec le bleu de la mer et le vert des forêts primaires de l’île. La construction du sanctuaire a commencé en 593, enrichie d’ajouts successifs jusqu’à l’époque contemporaine.
Le sanctuaire d'Itsukushima
Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, témoin de 1 000 ans d’histoire japonaise, il est composé de 56 bâtiments construits sur l’estran, ce qui donne l’incroyable impression qu’il flotte sur l’eau à marée haute. Pour certains, une telle configuration exprimerait la croyance en la Terre pure bouddhiste : les âmes des morts pourraient ainsi être transportées en bateau du sanctuaire vers le « monde suivant ».
Son architecture raffinée et sa couleur vermillon contrastent avec le bleu de la mer et le vert des forêts primaires de l’île. La construction du sanctuaire a commencé en 593, enrichie d’ajouts successifs jusqu’à l’époque contemporaine.
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