Par Marjorie Cessac. Cartographie : Allix Piot
« Je suis prête à me battre. » C’était en octobre 2018. La journaliste indienne Priya Ramani venait de jeter un pavé dans la mare en accusant un membre du gouvernement, ex-homme de médias, d’être ni plus ni moins qu’un « prédateur sexuel ». Un an après les États-Unis, l’Inde venait d’être rattrapée par le mouvement #MeToo.
Des milliers de femmes ont pris la parole pour dénoncer dans les médias et sur les réseaux sociaux des faits graves allant du harcèlement au viol, pointant du doigt des journalistes, réalisateurs et acteurs de Bollywood. L’occasion de faire entendre leurs voix sans pour autant encore bouleverser l’ordre établi. D’ailleurs, seule une femme ministre, sur les six que compte le gouvernement, a réellement soutenu Priya Ramani. Alors qu’une vingtaine d’autres journalistes ont également accusé le politicien.
« Je suis prête à me battre. » C’était en octobre 2018. La journaliste indienne Priya Ramani venait de jeter un pavé dans la mare en accusant un membre du gouvernement, ex-homme de médias, d’être ni plus ni moins qu’un « prédateur sexuel ». Un an après les États-Unis, l’Inde venait d’être rattrapée par le mouvement #MeToo.
Des milliers de femmes ont pris la parole pour dénoncer dans les médias et sur les réseaux sociaux des faits graves allant du harcèlement au viol, pointant du doigt des journalistes, réalisateurs et acteurs de Bollywood. L’occasion de faire entendre leurs voix sans pour autant encore bouleverser l’ordre établi. D’ailleurs, seule une femme ministre, sur les six que compte le gouvernement, a réellement soutenu Priya Ramani. Alors qu’une vingtaine d’autres journalistes ont également accusé le politicien.
Manifestations et mouvements féministes
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