Par Marika Droneau, journaliste
Couchée à l’origine sur les berges de l’Hérault, l’ancienne cité antique d’Agde s’est, au cours des cinquante dernières années, désintéressée du fleuve pour embrasser la Méditerranée. La « mission Racine » – du nom de son dirigeant Pierre Racine – lancée par l’État en 1963, y est pour beaucoup. Son objectif : aménager le littoral du Languedoc- Roussillon en créant une chaîne de sept pôles touristiques attractifs, depuis les Pyrénées-Orientales jusqu’au Gard. Le Cap d’Agde est l’un d’eux. Au moment où débute la mission, quelques résidences de vacances pointent déjà en bord de mer, mais la ville est davantage tournée vers la terre, l’agriculture.
Couchée à l’origine sur les berges de l’Hérault, l’ancienne cité antique d’Agde s’est, au cours des cinquante dernières années, désintéressée du fleuve pour embrasser la Méditerranée. La « mission Racine » – du nom de son dirigeant Pierre Racine – lancée par l’État en 1963, y est pour beaucoup. Son objectif : aménager le littoral du Languedoc- Roussillon en créant une chaîne de sept pôles touristiques attractifs, depuis les Pyrénées-Orientales jusqu’au Gard. Le Cap d’Agde est l’un d’eux. Au moment où débute la mission, quelques résidences de vacances pointent déjà en bord de mer, mais la ville est davantage tournée vers la terre, l’agriculture.
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