Par Arnaud Guérin, géologue, photographe et auteur
En période d’équinoxes, la baie du Mont-Saint-Michel vit au rythme des plus grandes marées de l’année. Pendant cinq jours, toutes les douze heures, le mont redevient une île coupée du monde, sa passerelle d’accès étant submergée. Comme un retour aux sources pour ce monument qui doit tout à son insularité.
Depuis l’an 709, le Mont-Saint- Michel revêt aux yeux de l’humanité un caractère d’exception. Un îlot qui a perdu son statut d’île pour celui de mont. La renommée des lieux a depuis très longtemps dépassé l’altitude, somme toute modeste, du mont Tombe devenu par l’action de grâce de saint Auber , le mont Saint-Michel. Mais que serait ce joyau sans son écrin ? Le mont sans la baie ?
En période d’équinoxes, la baie du Mont-Saint-Michel vit au rythme des plus grandes marées de l’année. Pendant cinq jours, toutes les douze heures, le mont redevient une île coupée du monde, sa passerelle d’accès étant submergée. Comme un retour aux sources pour ce monument qui doit tout à son insularité.
Depuis l’an 709, le Mont-Saint- Michel revêt aux yeux de l’humanité un caractère d’exception. Un îlot qui a perdu son statut d’île pour celui de mont. La renommée des lieux a depuis très longtemps dépassé l’altitude, somme toute modeste, du mont Tombe devenu par l’action de grâce de saint Auber , le mont Saint-Michel. Mais que serait ce joyau sans son écrin ? Le mont sans la baie ?
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